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Connotation

Une connotation est un concept qui se distingue par sa caractéristique unique et qui a une influence sur l’apparence psychospirituelle des concepts auxquels elle est associée. Si une connotation est agréable, elle améliore l’apparence psychospirituelle des concepts auxquels elle est associée. Si elle est désagréable, elle les ternit.

 

Tout stimulus physique, que ce soit un parfum, une saveur, une texture, un son, un symbole (un logo, une couleur, une note de musique, une parole, un geste, etc.) représente une connotation. L’agréable, le désagréable, le bien (la vertu) et le mal (l’immoral) sont des connotations. La folie est une connotation attribuable à un phénomène incompris.

 

Une relique ou un simple porte-bonheur se définissent par leurs connotations. Une bénédiction religieuse, un encouragement (souhaiter « bonne chance » à quelqu’un), un mauvais sort ou un vœu de mauvaise chance envers quelqu’un sont l’association d’une connotation à un objet ou une personne.

 

Tous les termes d’un dictionnaire représentent une ou plusieurs connotations, dépendamment du nombre de définitions auxquelles on les associe. Un ensemble de mots (une expression, une phrase, un paragraphe, etc.) représente une connotation bien spécifique. Changer la moindre lettre d’un texte engendre un changement de la connotation qu’il représente. Une erreur dans un texte ternit la connotation qu’il représente par la connotation du mot « erreur ».

 

La vie d’un individu est un texte qui s’écrit de façon continue jusqu’à son décès. Il peut même continuer à s’écrire par la suite si les connotations qu’on y associe représentent des concepts qui inspirent les gens qui en font connaissance. L’auteur du texte est l’individu en question. Celui-ci peut certainement être influencé dans sa rédaction par d’autres gens mais en fait, son écriture témoigne de son propre choix.

Réputation

Une réputation est une connotation associée à quelqu’un ou quelque chose par chaque être qui en fait connaissance, et qui peut se définir en fonction de l’expérience qu’on en tire.

 

Une réputation se bâtit à mesure qu’un ou plusieurs êtres témoignent des connotations associées à son sujet. Elle se définit en fonction des moindres caractéristiques de l’expérience bien spécifique que vit chacun des témoins face au sujet de la réputation.

 

Une réputation peut être modelée par une association avec une connotation agréable ou avec une connotation désagréable, qu’elle soit fondée ou même complètement fausse.

 

Une affirmation, qu’elle soit le moindrement insinuée ou bien franchement déclarée constitue une connotation. Une réputation peut être altérée par la moindre insinuation, qu’elle soit vraie ou fausse. L’ampleur et la ténacité de l’altération se concrétise en fonction de la réputation de celui qui fait l’insinuation.

 

Les plus grands destructeurs d’une réputation s’étendent des connotations d’une malveillance extrême à un simple manque de raffinement (au niveau de l’efficacité, de la vertu, etc.) ou de compatibilité. Une simple menace contribue à dégrader la réputation d’un être, d’un objet ou d’un service.

 

Un individu qui ne constate pas la nécessité de contribuer à raffiner sa propre réputation s’expose au risque d’être marginalisé lorsque la moindre connotation désagréable lui est associée par un témoin, qu’elle soit fondée ou parfaitement fausse. Un individu qui s’applique à raffiner sa réputation risque de réussir à devenir un modèle de comportement apprécié.

Connotation
Réputation
L'esprit-attitude
L'esprit-attitude

L’esprit-âme est notre corps spirituel qui définit où nous nous trouvons dans l’espace (géographiquement parlant). Par ailleurs, notre esprit-attitude définit où notre influence se situe dans l’espace et notre influence définit où notre esprit-attitude se situe dans l’espace.

 

L’esprit-attitude est une connotation qui constitue la signature, la réputation ou la personnalité d’une présence vivante en fonction de son histoire, et qui dirige (ou inspire) les êtres qu’elle influence dans le développement de leur bulle psychospirituelle.

 

L’esprit-âme participe activement à la création de son propre esprit-attitude tandis que l’esprit-attitude des uns participe par simple présence au développement de l’esprit-attitude des autres. Chaque être vivant se distingue par son propre esprit-attitude.

 

Une parole ou un geste peut être coloré d’un certain esprit-attitude. Une même parole ou un même geste peut être coloré d’une multitude de différents esprits-attitudes, dépendamment de l’identité, l’état, l’intention et l’apparence de l’esprit-âme qui l’émet.

 

Par exemple, l’optimisme est un esprit-attitude. Lorsque nous parlons de l’esprit sportif, nous parlons aussi d’un esprit-attitude. Une équipe, un attroupement de personnes, un groupe social et même un dieu se distinguent par leur esprit-attitude. L’esprit du bien est un esprit-attitude.

 

Une présence peut être perçue différemment par les gens et elle peut donc inspirer une ambiance émotive différente d’une personne à l’autre. Notre esprit-attitude est donc perçu différemment par chaque personne qui nous rencontre.

 

Au départ, l’esprit-attitude d’un individu est définit essentiellement par son apparence physique. S’il a la chance de faire une bonne première impression, il doit faire transparaître son esprit-attitude dans son comportement et son langage dans un laps de temps restreint. Évidemment, le code vestimentaire est aussi particulièrement important dans une telle situation.

 

En étant en contact avec une personne et à mesure que le temps passe, son esprit-attitude qui transparaît contribue à modeler son identité de sorte qu’un désavantage au niveau de son apparence physique peut être dissout par son esprit-attitude s’il est vertueux ou agréable.

 

Selon ce même principe, une association sociale qui se forme en fonction d’un attrait basé sur les apparences physiques risque d’être rompue si l’esprit-attitude fait défaut. Dans ce sens, baser une décision importante sur une première impression peut coûter cher ou être fatale.

Le modèle de comportement
Modèle de comportement

Nous sommes tous le modèle de comportement de quelqu’un, que nous le reconnaissions, l’acceptions ou pas. Un individu (ou esprit-âme) qui influence les autres est par ce fait pour eux un modèle de comportement. Il accomplit cette tâche à l’aide de son propre esprit-attitude qui est un collage de sa propre sélection parmi les esprits-attitudes des individus (ou esprits-âmes) qui sont pour lui des modèles de comportement.

 

La notoriété d’un individu définit l’impact qu’aura son influence sur son entourage et environnement. Cependant être tout simplement aperçu pendant quelques secondes par un autre individu peut engendrer de sérieuses conséquences. Sur cette base, le moindre geste irresponsable peut, grâce au mimétisme, engendrer des conséquences catastrophiques. Une célébrité qui commet un geste irresponsable multiplie l’impact par l’ampleur de sa notoriété. Un individu qui « nourrit » une célébrité irresponsable contribue à perpétuer des conditions extrêmement malsaines pour le monde.

 

Si l’on reconnaît que l’objectif de tous et chacun est d’être heureux, pour atteindre nos objectifs, nous avons besoin d’un libre accès à ce qui nous procure le plaisir. Toutefois la vie en société exige une certaine modération de cet accès. Un modèle de comportement exemplaire doit donc savoir doser de façon responsable sa consommation (égoïsme sain et nécessaire) et sa distribution (altruisme raisonnable). Le dosage doit se faire en fonction de tout bien ou service ayant la moindre valeur.

Autorité
Autorité

Une autorité est un individu qui gère l’accessibilité de certaines libertés et/ou ressources. Tant que nous avons quelque chose à offrir, que ce soit de nos propres possessions ou par nos propres moyens, que ce soit le moindre bien ou service, de l’argent ou des droits, nous sommes une autorité.

 

Toutefois, dans une équipe, dans une entreprise, dans un gouvernement, etc. l’autorité est celui qui est élu. Dans un tel cas, une autorité doit être élue grâce à ses qualités vertueuses en matière de modèle de comportement. Une autorité doit être un individu qui incarne un esprit-attitude puissant. Un esprit-attitude puissant par définition inspire les gens. Une autorité efficace doit donc se définir en fonction de son aptitude à inspirer autrui.

 

Un engagement que prend un individu définit le type d’autorité qu’il représente, ainsi que ses tâches, responsabilités et obligations. Le serment d’allégeance concrétise tout moindre engagement, de la plus simple promesse qu’un individu se fait à lui-même à celle qu’il fait au créateur de la vie, de tout moindre degré d’importance.

 

Le pouvoir suggestif d’une autorité se définit proportionnellement à la force des connotations autoritaires qui sont associées à sa réputation. Une autorité qui est reconnue comme ayant prêté serment d’allégeance à un modèle de comportement qui inspire seulement quelques individus aura moins de pouvoir suggestif que celle qui est reconnue comme ayant prêté serment d’allégeance à un modèle de comportement qui inspire tout le monde.

 

Le serment d’allégeance prend du poids proportionnellement à la fidélité que l’autorité en question manifeste à travers le temps face au sujet de ce serment d’allégeance. Par exemple, un individu peut prêter serment dans une cérémonie prévue à cet effet, toutefois les connotations autoritaires qui accentuent son pouvoir suggestif ne se concrétisent qu’à travers le temps et à condition que cet individu fasse preuve d’une intégrité face au modèle de comportement qu’il représente.

La promesse
La promesse

Une promesse est une manifestation d’un engagement à être fidèle à un contrat. Un mariage, étant le contrat qui engage un couple à être fidèle l’un envers l’autre est fondé sur une promesse. Lorsqu’un individu est sacré chevalier, il fait le serment d’allégeance à un roi.

 

Un roi n’existe qu’à partir du moment où il fait le serment d’allégeance à un vrai dieu. Un vrai dieu est une source directrice intuitive solidement fiable qui inspire à être des modèles de comportement exemplaires et qui mobilise à travers les créations les plus saines, bénéfiques et nécessaires.

 

Le subordonné d’un roi accède à ce titre lorsqu’il est fidèle au roi. Un mari qui est infidèle à sa femme enfreint son contrat de mariage. Il la trahit.

 

Un individu qui commet une trahison trahit la loi de l’honnêteté. Par son choix, il se définit lui-même comme une personne qui en certaines circonstances n’est pas fiable. Sur une chaîne hiérarchique, il incarne le chaînon défectueux. Dans une famille, il constitue la brique qui fera s’effondrer la famille. Dans un gouvernement, il constitue le mur qui cèdera à l’envahisseur.

Indices d'application
Indices d'application

Le type d’esprit-attitude qu’entretient un individu se reflète d’abord dans son comportement et aussi dans les indices perceptibles (visuels, etc.) de son effort à soigner son apparence. Un indice d’application est une indication d’un effort constructif vertueux.

 

Afin d’être qualifié de « bon goût », un indice d’application doit faire preuve de pertinence, être suffisamment notable et évidemment non-excessif. Voici les caractéristiques d’un indice d’application de bon goût :

 

  • compatibilité : être statistiquement pratique et agréable (aux sens) selon le contexte (pudeur et tendances culturelles (coutumes, mode, etc.));

 

  • ou incompatibilité pertinente (ex : humour, publicité choc, etc.);

 

  • nature responsable de la pensée, du geste ou de l’habitude.

 

Ces indices d’application se manifestent d’abord chez l’individu et ensuite dans sa propriété et dans ses fréquentations. Un individu qui aspire à devenir un modèle de comportement exemplaire soignera ses indices d’application.

 

 

Indices d’application sur la personne :

 

Les habitudes exemplaires à prendre soin de soi ne sont pas une question de goûts. Elles sont objectivement vertueuses. Par exemple, puisque la santé est nécessaire pour la sécurité, une bonne hygiène est un indice d’application. La compatibilité du code vestimentaire en fonction du contexte est un indice d’application. Une bonne forme physique et une agilité intellectuelle sont des indices d’application.

 

 

Indices d’application sur la propriété :

 

La sélection de la propriété et les soins qui y sont portés peuvent manifester des indices d’application.

 

 

Indices d’application dans les fréquentations :

 

Un individu qui s’applique à devenir un modèle de comportement exemplaire limitera ses fréquentations personnelles à un entourage constitué d’individus qui l’inspirent à se raffiner en matière d’indices d’application. Par contre, dans un esprit d’altruisme, il peut se permettre de fréquenter en tant qu’autorité (en tant que parent ou en tant que professionnel) des êtres qui ne l’inspirent pas mais qui peuvent bien bénéficier de son influence.

 

Le « snobisme » est un terme qui désigne de façon péjorative un individu qui filtre ses fréquentations. La connotation péjorative est juste lorsque associée à un individu qui dénigre l’option altruiste de fréquenter des gens moins riches en indices d’application, en tant qu’autorité.

 

 

Indices d’application sur l’esprit-attitude :

 

Quelqu’un qui aspire à devenir un modèle de comportement exemplaire doit soigneusement préparer la mise en place des vestiges de sa vie. Ceci exige l’établissement d’une réputation qui fait preuve d’un esprit-attitude authentique, puissamment inspirant et purement vertueux.

Autocritique
Autocritique

Tandis que la réputation d’un individu définit l’optique qu’entretiennent à son égard les gens qui en font connaissance, elle définit aussi l’optique qu’entretient l’individu face à lui-même. Une solide et bonne estime de soi se fonde dans la réputation que nous reconnaissons en nous autoévaluant et il dépend d’une réputation qui fait preuve d’un effort notable et soutenu à soigner nos propres indices d’application. Afin d’être efficace à soigner ses propres indices d’application, un individu doit développer une sérieuse autocritique.

Culture
Culture

Une culture se définit non pas par sa race, par sa nationalité ou par son espèce mais bien par son esprit-attitude. Tout moindre trait de caractère définissant l’esprit-attitude spécifique à un individu constitue une culture. Les frontières d’une culture peuvent se définir d’autour d’un unique individu jusqu’au plus grand groupe social. Un groupe social ne requiert qu’un seul critère pour être reconnu comme une culture distincte. Toutefois la plupart des cultures reconnues sous ce titre regroupent plusieurs êtres ayant plusieurs caractéristiques en commun.

 

Le degré de civilité d’une culture dépend du niveau de responsabilité (vertu) qu’elle représente. Le niveau de responsabilité que représente une culture s’évalue objectivement à travers les indices d’application qu’entretiennent les individus qui la constituent. Plus une culture favorise l’entretien d’habitudes nécessaires et pertinentes au détriment du superflu, plus elle fait preuve de vertu.

Égoïsme et altruisme
Égoisme et altruisme

Un individu aime ce qui lui apporte un certain plaisir. Il définit le plaisir en fonction de ses objectifs (et inverse). L’atteinte d’un objectif procure le plaisir.

 

Un individu qui travaille pour atteindre les objectifs de l’individu qu’il sera dans l’avenir est davantage altruiste que celui qui travaille pour atteindre ses objectifs immédiats. Une personne qui travaille pour ses objectifs immédiats démesurément plus que pour ses objectifs à long-terme est égoïste.

Altruisme            Égoïsme
Altruisme            Égoïsme

1)  Épargne d’une source de plaisir pour future consommation (long-terme)

 

2)  Épargne d’une source de plaisir pour future consommation (moyen-terme)

 

3)  Consommation immédiate du plaisir

 

 

 

Un individu, un groupe social ou une autorité qui a pour objectif de se donner du plaisir démesurément plus à soi-même qu’aux autres s’éloigne de l’altruisme et s’approche donc de l’égoïsme.

 

Un individu responsable en est un qui sait bien gérer son pouvoir d’acquisition du plaisir. Une autorité responsable en est une qui sait bien gérer son pouvoir de distribution du plaisir.

 

Une autorité responsable est altruiste et gère son pouvoir de distribution du plaisir davantage au service des générations du futur que la sienne. Une autorité altruiste se procure du plaisir en atteignant ses objectifs de façon responsable, c’est à dire en distribuant en fonction des objectifs à court-terme, à moyen-terme et à long-terme de ses sujets de manière juste et adéquate.

Altruisme            Égoïsme

1)  Épargne d’une source de plaisir pour future distribution (long-terme)

 

2)  Épargne d’une source de plaisir pour future distribution (moyen-terme)

 

3)  Distribution immédiate du plaisir

 

 

 

Une autorité qui distribue prioritairement le plaisir à court-terme démesurément plus que le plaisir à long-terme est irresponsable et n’est donc pas altruiste. Une autorité qui s’éloigne de l’altruisme s’approche de l’égoïsme.

 

Être excessivement altruiste constitue un abus et une certaine dose d’égoïsme est saine et nécessaire.

Cause
Cause

Une cause peut être une mission qui dure toute une vie et souvent même bien plus. Toutefois tous nos moindres objectifs sont aussi des causes. Nos premières causes développent chez nous des habitudes qui à leur tour nous influencent dans notre sélection de nos causes. Éventuellement, notre feuille de route contribue à définir notre esprit-attitude.

 

Les causes se classent dans des catégories qui se contiennent les unes les autres en fonction de leur niveau d’altruisme. Voici ces catégories :

Les êtres qui participent à une cause, qu’elle soit axée sur tout moindre individu, produit ou service, se mouillent de sa réputation. Un individu intègre à sa réputation toute moindre connotation associée à toute moindre cause qu’il favorise, que ce soit en la défendant, en l’acceptant ou en négligent de la réprimer. S’abstenir de réprimer une cause irresponsable contribue à définir notre réputation.

Lexique de l'esprit-attitude
Lexique

altruisme nécessaire : Tout geste ou parole nécessaire et au profit prioritairement d’autrui.

 

altruisme excessif : Risquer ou sacrifier son propre bien-être pour le bien-être d’une cause qui n’est pas d’altruisme nécessaire.

 

égoïsme nécessaire : Tout geste ou pensée nécessaire et au profit prioritairement personnel (L’égoïsme nécessaire assure l’aptitude à pratiquer l’altruisme (ex. : manger)).

 

égoïsme excessif : Tout geste ou pensée non-essentiel, au profit prioritairement personnel et qui représente une menace pour le bien-être d’autrui.

 

courage : Risquer ou sacrifier son propre bien-être pour le bien-être d’une cause qui est d’altruisme nécessaire.

 

responsable: Qualité de celui qui entretient des habitudes d’altruisme nécessaire ou d’égoïsme nécessaire.

 

amour : Responsabilité volontaire (L’amour ne se définit pas autant par le plaisir qu’il peut apporter que par l’exigence de responsabilité qu’il implique).

 

pudeur : Niveau de responsabilité d’une méthode égoïste.

 

décence : Pudeur responsable.

 

immoral : Pudeur irresponsable.

 

insouciance : Tout geste ou pensée non-essentiel qui représente une menace pour le bien-être de soi-même ou d’autrui (témérité : Extrême insouciance.).

 

négligence : Faute de celui qui a omis d’accomplir un acte qui lui incombait.

 

stupidité : Tout geste ou pensée d’insouciance ou de négligence.

 

malveillance : Tout geste de stupidité commit en pleine connaissance de cause.

 

perversion : Faute de celui qui commet ou se soumet déraisonnablement à un geste ou pensée malveillant.

 

péché : Toute action ou pensée perverse.

Le nécessaire et l'irresponsable
Le nécessaire et

Puisque la responsabilité se définit comme étant tout geste ou pensée nécessaire, dans un monde où il y a des gens qui malgré eux vivent dans le danger et l’insuffisance, commettre un geste qui n’est pas nécessaire de façon intentionnelle tend vers l’irresponsabilité. Puisqu’il est impossible pour un individu de savoir qui il sera dans l’avenir, tout moindre geste qu’il commet et qu’il juge susceptible d’être raisonnablement désapprouvé par la personne qu’il sera dans l’avenir lointain est qualifié d’irresponsable.

Le décent et l'immoral
Le décent et

La frontière qui sépare le décent de l’immoral est disposée différemment d’une culture à l’autre et elle définit le niveau de pudeur et le seuil de tolérance morale des individus qui en font partie. Les membres d’une même culture ont généralement plus ou moins le même niveau de pudeur et le même seuil de tolérance morale.

Niveau de pudeur
Niveau de pudeur

Plus quelqu’un entreprend de se procurer du plaisir égoïste de façon irresponsable, plus il commet un geste immoral. Les facteurs qui contribuent à définir le niveau d’immoralité d’un geste sont les suivants :

 

  1. le niveau d’égoïsme du besoin à combler par le geste en cause;

  2. le niveau de pudeur de la culture de l’entourage;

  3. le niveau d’exposition du geste en cause.

 

Afin d’être décent, le niveau d’exposition d’un geste doit toujours être respectueux du niveau de pudeur de la culture de l’entourage. Lorsqu’une habitude d’un individu nuit au confort ou à la sécurité des gens de son entourage, qu’elle soit irrespectueuse du niveau de pudeur de la culture de l’entourage ou qu’elle soit excessivement pudique, elle est excessivement égoïste. Une femme qui se promène en burka sur une plage en Floride entretient un comportement aussi irrespectueux que celle qui fait du monokini sur une plage en Iran.

 

L’immoral ne se définit pas seulement par le geste mais bien en considération du contexte.

Seuil de tolérance morale
Seuil de tolérance

La tolérance est une qualité attribuable à une personne qui sait bien s’adapter à un stress culturel. Un stress culturel peut être causé par toute différence associable à la culture propre à un individu.

 

Plus un individu est tolérant, plus il est vertueux en matière de civilité. Cependant, une autorité a la responsabilité d’établir son seuil de tolérance en fonction d’un niveau de sécurité raisonnable pour ses sujets.

Martyre
Martyre

Un martyre est un individu qui, en pleine connaissance de cause, souffre ou meurt aux mains d’une autorité officielle parce qu’il défend le bien absolu. Un martyre n’entraîne personne volontairement avec lui dans la souffrance ou dans la mort. Il a la responsabilité de faire tout en son possible pour éviter d’assujettir son entourage à son calvaire. Le martyre ne se cause pas la mort et ses souffrances ou sa mort ne sont attribuables qu’aux gestes irresponsables de ses oppresseurs face à sa ténacité dans sa cause extrêmement altruiste. Le degré d’altruisme de sa cause ne se mesure pas par le sacrifice qu’il fait mais bien par les proportions des bénéfices que sa propre contribution engendre.

Le mérite
Le mérite

Le mérite est la quantité de liberté et de pouvoir à laquelle devrait moralement avoir droit un individu. Le niveau de mérite d’un individu se détermine à partir du niveau de vertu qu’il reflète en matière de civilité. Le niveau de vertu associable à un individu se mesure par la qualité de l’esprit-attitude qu’il entretient. S’il est le modèle de comportement par excellence, il doit nécessairement être en position de pouvoir.

Les gens qui se situent sur la ligne oblique du graphique précédent sont assujettis à des conditions méritées.

Votre quotient de modèle de comportement (QMDC)
QMDC

Le quotient de modèle de comportement cote l’individu en fonction du niveau du caractère responsable, autant envers lui-même qu’en vers les autres, qu’entretient son esprit-attitude.

 

 

Sur une échelle de 0 à 10, en vous comparant aux gens de votre entourage, ainsi qu’à toute personne dont vous avez pris connaissance qui a vécu au cours de l’histoire, quel est votre quotient de modèle de comportement?

Quotient de modèle de comportement ou Quotient responsable (QR):

Complétez votre Test QR en cliquant ici.

Justice
Justice

Puisque dans un monde comme le nôtre, l’accessibilité des ressources est synonyme du pouvoir et de la liberté, déterminez le niveau de justice auquel vous êtes soumis en coordonnant votre quotient de modèle de comportement (QMDC) en fonction du salaire annuel de l’individu le plus riche au monde.

 

Si vous donnez 100% des points de « pouvoir » à l’individu le plus riche au monde, en comparant votre revenu annuel au sien, où vous situez-vous?

Plus vos coordonnées dans ce graphique sont situées loin de la ligne oblique rouge, moins vous vivez dans des conditions méritées.

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