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Le cerveau : La jonction entre le corps et l'âme
L'âme

L’âme d’un être vivant se compose des éléments suivants : L’intention ou le « centre expressif », et le « centre perceptif ». Tout être, qu’il soit vivant ou spirituel, a son propre âme. L’intention origine de l’âme et non du cerveau biologique. Pour cette raison, nous pouvons continuer à penser et affecter notre environnement et entourage après notre décès.

 

Dans toute transe médiumnique notre inhabileté à coordonner ou synchroniser nos gestes avec un autre être confirme que nos centres expressifs, sources de la manifestation de nos intentions, sont séparés. Le subconscient est un terme qui désigne ce qui est en fait l’influence d’un esprit.

 

Le centre perceptif d’un individu (le centre perceptif physique combiné au centre perceptif psychospirituel), puisqu’il fait partie de l’âme, ne peut être étudié par les sens physiques (sauf à travers des documents théoriques qui le décrivent et l’expliquent). Il est invisible et non-malléable physiquement. Le cerveau est en fait un outil biologique intermédiaire entre l’âme et le monde physique. La science qui naturellement accorde priorité aux preuves et à tenir compte des réalités davantage palpables dans ses allégations déduit par erreur que le centre perceptif ou le centre expressif est le cerveau.

 

Sur cette base, attribuer les réalités psychologiques que vit un schizophrène simplement à l’état de son cerveau serait une allégation incomplète et par ce fait même, fausse. Les psychiatres qui aujourd’hui se spécialisent dans la compréhension du fonctionnement du cerveau induisent les clients de leur expertise dans l’erreur lorsqu’ils affirment qu’une vision est produite par celui-ci.

 

Les connotations de « pure création du cerveau » qu’ils associent aux réalités psychospirituelles qu’ils ont baptisées en tant que « délire », « hallucination », « subconscient » et j’en passe, sont inexactes. Ces fausses connotations constituent une erreur et une fausse croyance dans leur théorie.

 

Les justifications de la psychiatrie pour indiquer que je délire reflète parfaitement sa croyance que le monde psychologique d’un individu se crée dans et par le cerveau. Lorsqu’il y a une anomalie dans l’état de la bulle psychospirituelle d’un individu, ils dénoncent démesurément facilement un débalancement chimique dans son cerveau. Dans les faits, en prenant pour acquis que les gens « normaux » se comportent de façon saine, on traite de « désaxé » un individu qui est tout simplement « axé différemment ».

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Un jour, un Esprit s’est levé des brumes du silence, et dans le souffle du vent, il m’a murmuré :

« Je vois ton cœur vaciller, hésitant entre mille sentiers. Mais sache que la vie, vaste et généreuse, recèle bien des merveilles à qui ose s’ouvrir.

Puisque tu reconnais en moi l’Esprit du Bien,
fais le serment de marcher à mes côtés.
Je t’emmènerai loin, au creux d’une forêt oubliée, dense, mystérieuse, encore vierge d’empreintes humaines. Là-bas sommeille un monde tissé de secrets et de lumière —
un monde qui n’attend que toi pour naître pleinement.

 

Si tu me fais confiance, je t’aiderai à écarter les ronces, à tracer la carte du possible,
jusqu’à ce lieu où ton âme pourra enfin s’enraciner. »

 

Le temps a filé, long fleuve bordé d’épreuves et d’étoiles. Aujourd’hui, le chemin est clair.
Je l’ai dessiné à la main, pas à pas, et me tiens à l’orée de ce royaume intérieur, prêt à accueillir ceux de ma terre d’origine qui désireraient parcourir ce monde nouveau.

 

Qu’ils viennent découvrir ses merveilles,
s’en émerveiller, peut-être s’y attarder…
Et qui sait ? Ensemble, nous pourrions bâtir, pierre après pierre, les fondations d’un avenir partagé, où naîtront, peut-être un jour, de nouvelles civilisations.

Âme
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Le cerveau
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Si les fruits d’un arbre représentent les accomplissements d’une personne, peut-on faire revivre un arbre sans fruits simplement en traitant la jonction entre le tronc et les racines ? Ne faudrait-il pas plutôt soigner quelque chose de plus profond — de moins visible ?

Imaginez maintenant deux enfants sur une balançoire : l’un touche le sol, l’autre est suspendu dans les airs. Pour aider l’enfant de droite à s’élever, suffit-il d’ajuster le point d’appui ? Est-ce vraiment au centre de gravité que l’on doit agir pour transformer la situation ?

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Il en va ainsi du cerveau humain — cette jonction mystérieuse entre le corps et l’âme. Dans le cas de la schizophrénie, se concentrer uniquement sur ce pivot, le cerveau, ne suffit peut-être pas à rétablir l’équilibre. On ne peut pas réhabiliter une personne vivant avec la schizophrénie simplement en soignant son cerveau.

 

À mes yeux, la schizophrénie n’est pas seulement une maladie, mais une perturbation dans une architecture plus profonde du soi — quelque chose qui ne peut être corrigé ni effacé uniquement par des interventions chimiques. Traiter cette condition avec des antipsychotiques, c’est parfois comme essayer de supprimer des données dans une section secondaire d’un système informatique, alors que l’entrée originale demeure dans la section primaire — inaccessible depuis la surface.

 

Ou comme tenter d’arrêter les aiguilles d’une horloge — sans jamais en retirer la pile.

Sous tout cela, je crois qu’il existe une expérience universelle d’« entendre des voix » — mais seuls certains d’entre nous les reconnaissent comme telles. Pour la plupart, elles se confondent avec le flot habituel des pensées. Mais durant les épisodes psychotiques, une personne peut les entendre distinctement. Et dans ces moments, ce qui devient limpide pour elle reste invisible — voire incompréhensible — pour ceux qui l’entourent.

 

Pour guérir, il faudrait peut-être commencer non pas à la surface des symptômes, mais à la source du signal — dans le sol, et non dans les fruits ; dans le réseau des racines, et non dans la tige.

Transe médiumnique
Transe médiumnique

La psychiatrie accuse un manque de production de dopamine dans mon cerveau pour cause de mes prétendus « délires ». Dans mon cas, ce terme « délires »  allègue faussement que je suis victime de « fausses croyances ». Certaines drogues illégales gèlent les composantes du cerveau qui en temps normal atténuent la perception psychospirituelle. Cette anesthésie suscite la prétendue « hallucination » (terme à fausse connotation de « pure production du cerveau ») qui en temps normal constitue une simple distraction (lorsqu’on est « dans la lune ») ou un rêve (lorsqu’on dort). Le terme folklorique « vision » désignant ce phénomène implique une connotation de « communication avec l’au-delà ».

 

La dernière appellation (vision) est en fait la plus juste. Ironiquement, la réalité a, face au progrès de la science, été noyée dans la connotation mythologique du folklore. Notre dépendance aux preuves nous enchaîne à l’ignorance.

 

Une manifestation psychospirituelle peut constituer chez son sujet un point de repère pour axer adéquatement son interprétation du domaine psychospirituel.  Sans cette expérience, les éléments qui composent le monde psychospirituel se classent de façon plus ou moins confusément et aléatoire. Mon expérience me permet de distinguer que ce qu’un psychiatre appelle mon subconscient est (au moins en grande partie) un esprit qui m’influence et ce qu’un médium appelle une « transe médiumnique » (l’influence d’un esprit sur moi) est directement associable aux concepts suivants :

 

- Intuition

 

- Instinct

 

- Inspiration

 

- Conscience (bonne ou mauvaise)

 

- Horloge biologique

 

- Vision :        être « dans la lune » ou une idée ou un rêve ou une hallucination.

 

 

Grâce à la manifestation spirituelle dans ma vie, je constate qu’au moins une grande partie de chacun des concepts précédents se constitue d’une contribution de la part d’un ou de plusieurs esprits dans l’entourage du sujet.

Télépathie
Télépathie

Il y a toujours au moins un esprit qui existe en parallèle avec nous, que nous en soyons conscients ou non. Certains appellent cette présence un Ange Gardien. Cet esprit perçoit nos pensées en permanence, en toutes circonstances. Lorsqu'il forme une pensée en étant en parallèle avec nous, nous la recevons comme une sorte d'impression conceptuelle, ce que nous appelons souvent l'intuition. Plus nous passons de temps à réfléchir à cette impression, et plus elle est complexe, plus nous pouvons la décoder et en comprendre clairement le sens. C'est ainsi qu'un esprit nous guide et communique avec nous.

Les esprits se manifestent à travers notre psyché. Lorsqu'un esprit nous parle, le message peut prendre la forme d'un rêve ou d'une vision. Nos oreilles physiques n'enregistrent aucun son ; le message ne voyage pas dans l'espace sous forme d'onde sonore. Il s'agit plutôt d'une transmission télépathique, transmise uniquement par la pensée.

Imaginez que nous parlons au téléphone à une personne que nous n'avons jamais rencontrée. Notre imagination peut construire une image mentale de cette personne qui s'avère inexacte lors d'une rencontre en personne. Cela illustre une vérité plus profonde : l’image mentale que nous créons d’une personne qui nous parle sans présence physique est indépendante de sa véritable identité.

Si je vois une personne X manifester une émotion ou une attitude nouvelle que je n’ai jamais vue auparavant, et qu’un esprit tente ensuite de me communiquer cette même émotion, il peut utiliser le souvenir de la personne X pour la représenter.

Que ce soit intentionnellement ou non, l’esprit peut personnifier X à travers mes émotions et mon imagination. Si j’ignore la véritable source de cette expérience, je peux croire à tort recevoir un message télépathique directement de la personne X.

Lorsque nous rêvassons et qu’un scénario se déroule dans notre imagination sans cause claire, il y a souvent un message caché derrière. Une analyse minutieuse permet de découvrir ce message. C’est une façon pour les esprits de communiquer avec nous. Les rêves, en fait, sont ce même type de vision, mais ils se produisent pendant notre sommeil.

Lorsque de jeunes enfants jouent seuls à la garderie, chacun immergé dans son propre monde avec un « ami imaginaire », les psychologues pourraient décrire cela comme un « monologue collectif ». Mais en réalité, ces enfants pourraient interagir avec des esprits présents dans leur environnement spirituel immédiat.

De même, lorsque Y rentre du travail et marmonne pour lui-même, se remémorant une conversation avec son patron, il est conscient d'être plongé dans ses pensées. Mais la structure de ce dialogue intérieur pourrait en réalité être façonnée par un esprit. Cet esprit incarne l'impression émotionnelle et psychologique du patron, formant une sorte de « bulle psychospirituelle » qui influence l'état d'esprit de Y.

Il y a des moments, pendant la rêverie, où cette présence spirituelle devient perceptible. On peut soudain prendre conscience qu'on rêve ou qu'on réfléchit. Mais dès qu'on essaie de prendre le contrôle de la scène, celle-ci s'estompe souvent : les images disparaissent, les sons disparaissent. Cela montre que nous n'avons pas un contrôle total sur nos rêves ou nos visions.

Lorsqu'une chanson joue dans notre tête, cela ne signifie pas qu'elle est stockée physiquement dans notre cerveau. Elle n'est pas non plus nécessairement proche dans l'espace. En ce sens, ce que nous imaginons n'existe pas dans un lieu géographique précis. Que nous rêvions, rêvassions ou entendions une chanson intérieurement, il ne s'agit pas, à mon avis, de simples fonctions cérébrales. Elles proviennent plutôt d'une source métaphysique, résidant dans ce que l'on pourrait appeler la quatrième dimension.

Cette quatrième dimension est, je crois, celle où vivent nos ancêtres.

En tant que personne vivant avec la schizophrénie, j'entends des voix. Je ne crois pas qu'il s'agisse d'hallucinations, mais plutôt de véritables communications provenant du monde spirituel – des messages provenant d'au-delà de la vie physique.

La bulle psychospirituelle
La bulle psychospirituelle

Dans l’éveil, tout comme dans le sommeil, nous sommes assujettis à et conditionnés par les influences provenant de notre environnement et entourage. Ces influences constituent ce que j’appelle une « bulle psychospirituelle ». Cette bulle psychospirituelle se définit donc comme étant l’ensemble des connaissances, valeurs et croyances, autant fausses que fondées dans la vérité, qui constituent le point de vue d’un individu et qui ont une influence directe sur lui au moment où il doit prendre une décision ou faire un choix.

 

Il y a autant de bulles psychospirituelles qu’il y a de gens, quoi que celles-ci aient tendance à se ressembler pour les membres d’un même groupe social ou culture. Une culture sociale représente donc une bulle psychospirituelle. Elle est constituée d’une palette limitée et subjective d’idéologies et d’informations qui motivent les gens qui en font partie à se comporter de façons plus ou moins semblables et à prôner des idéologies plus ou moins semblables. Dès que nous nous retrouvons dans une telle bulle, les conditions de cette bulle deviennent ce que nous considérons comme normales.

 

Le « bien » et le « mal » sont souvent définis en fonction de la bulle psychospirituelle dans laquelle nous nous trouvons. La parfaite objectivité dépend d’une connaissance de tous les genres de bulles psychospirituelles, et sans exception. La science, étant basée sur la méthode scientifique qui identifie des preuves est supposée être objective. Toutefois, une science incomplète représente une bulle psychospirituelle.

Graphique des proportions sensorielles
Graphique

Dans le graphique suivant, les pointes de tarte représentent la sensibilité des sens. La zone où il n’y a pas de pointe représente la perception via le 6e sens. Lorsque nous sommes sobres, voici plus ou moins comment se répartissent les proportions de nos perceptions:

Légende

 

 1:        vue;

 2:        toucher;

 3:        odorat;

 4:        ouïe;

 5:        goût;

 6:        6e sens

Voici la tarte d’une personne en état d’ébriété ou sous l’influence de certaines drogues. Ce graphique explique l’effet analgésique et hallucinogène:

Voici à quoi ressemble la « tarte » d’un aveugle. Un aveugle est plus perceptif par les autres sens que les gens qui ont accès à tous leurs sens:

Il y a deux facteurs à considérer afin de déterminer la perceptivité :

 

   1- La sensibilité (un analgésique peut réduire la sensibilité des sens physiques);

   2- L’intensité des stimuli dirigés à travers les sens.

 

Une personne qui rêve en dormant va subir le même genre de perception qu’une personne sous l’influence d’hallucinogènes, toutefois (tel que représenté dans ce graphique) les proportions de sensibilité demeurent telles que celles d’une personne sobre.

L’intensité des stimuli dirigés vers le 6e sens (représentée par le 90 % dans le graphique) ne signifie pas qu’elle augmente particulièrement. C’est l’intensité des stimuli dirigés vers les 5 sens physiques qui étant réduite assure une augmentation proportionnelle de la valeur de perception via le 6e sens.

 

Évidemment, la valeur totale d’intensité des stimuli dirigés vers l’ensemble des sens varie à travers le temps. Le « 100% » n’indique que la valeur de l’ensemble des stimuli perçus à un moment déterminé. Il ne signifie pas que les sens perçoivent tous à pleine capacité au moment étudié.

Projet de vie
Projet de vie

Les gens de notre société ont tendance à préparer leur retraite bien davantage soucieusement que leur après-vie. La définition de la laïcité pour la plupart des laïcs implique que non seulement ils n’ont pas d’opinion confessionnelle, aussi ils ne croient pas en l’après-vie, ils n’ont pas de définition claire de ce qui se passe après la mort ou ils n’entretiennent pas des habitudes à dialoguer ou des simples pensées pour s’établir une conception personnelle de ce qui va se passer après leur décès.

 

Un entrepreneur ne construit pas une bâtisse au-delà de la falaise d’un précipice. Une personne qui considère que sa vie ne sera pas maintenue au-delà de son décès ne bâtira pas son projet de vie en fonction d’une continuité. D’autre part, un croyant authentique ne manquera pas à préparer son après-vie.

 

Voici comment je fais une distinction générale entre la dynamique de mon projet de vie tel qu’elle se dessinait avant mes premières manifestations spirituelles et celle de mon projet de vie actuel :

A – L’idée d’une mort définitive a un effet sur la vision d’un projet de vie. Un laïc pourrait avoir tendance à cibler la construction de son esprit-attitude en fonction d’une mort définitive. Cette attitude assure une dissipation presque certaine et à plus court terme de l’esprit-attitude de l’individu.

 

B – Quelqu’un qui croit qu’il va demeurer actif et continuer à contribuer à l’essor de la civilisation bien après son décès reflètera cette attitude dans le déroulement de ses projets.

 

 

La présence marquée de l’un ou l’autre de ces deux types de philosophies dans une société se reflétera inévitablement dans les caractéristiques de sa culture. Par exemple, dans certaines cultures religieuses, le comportement des individus dénotent un souci de bien faire par crainte d’une certaine punition au-delà de la mort.

 

Une manifestation spirituelle dans la vie d’un individu peut forcer chez lui une restructuration de son mode de fonctionnement. Dans mon cas, puisque je vis parmi un entourage constitué principalement de gens qui fonctionnent de façon officieuse selon le tableau A, ma nouvelle philosophie imposée contraste de façon marquée avec celle de ces gens et a transformé mon style de vie de sorte que je devienne incompatible avec la société dans laquelle je vis, et en conséquence je suis marginalisé par le phénomène communément nommé schizophrénie.

Le paradis et l'enfer
Le paradis et l'enfer

Lorsque nous parlons du paradis et de l’enfer, nous faisons habituellement référence par erreur à un endroit. Selon moi, le paradis et l’enfer ne sont pas des destinations géographiques ou spatiales mais plutôt des destinations psychospirituelles. Ils ne sont pas des endroits mais plutôt des états d’esprit.

La tristesse, la souffrance et la honte sont parmi les composantes de l’enfer et lorsque nous vivons l’une ou l’autre de ces conditions, nous nous trouvons dans l’enfer. Plus nous les éprouvons, plus nous nous trouvons dans l’enfer.

Dans ce sens, la joie, le plaisir et la fierté sont parmi les composantes du paradis.

Aussi, dans ce sens, il n’est pas nécessaire d’accéder à l’après-vie pour nous retrouver dans l’un ou l’autre de ces territoires psychospirituels.

Lorsque nous mourrons, notre âme cesse de se coordonner avec notre corps physique. Le corps physique devient à ce moment indépendant de l’âme. Il peut être réduit en cendres sans pour autant que cela ait des conséquences sur l’âme qui l’habitait.

Lorsque nous mourrons et que nous en devenons conscients, cette nouvelle expérience devient déterminante pour notre façon de voir les choses, pour notre façon de définir la vie. La compréhension de ce qu’il y a après nous indique, entre autres, le genre de personne que nous avons été durant notre vie.

Par exemple, s’il était coutume pour une personne, à travers sa vie, de régler ses propres problèmes en éliminant les gens de son entourage, se retrouver soudainement, par son propre décès, dans un état qui lui indique que, dans les faits, tous ces gens ne pouvaient être éliminés tout simplement en détruisant leur corps physique, cela peut avoir un impact sur l’état psychospirituel de ce meurtrier.

L’après-vie est une destination vers laquelle tous se dirigent et de ne pas tenir compte de ce fait dans les choix et décisions que nous prenons à travers notre vie, ne peut que nous causer des surprises lors de notre accès à l’après-vie.

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